. The Summerside Progress, 16 juillet 1866, p. 3. . Annales du Couvent de Miscouche, 10 mars 1871. . Ibid., 8 janvier 1872. . Ibid., 6 juillet 1865 et 10 mars 1871. Voir aussi, The Summerside Progress, 22 février 1869, p. 2. Le Père Miville est curé de Baie-Egmont. . Le Moniteur Acadien, 30 juillet 1869, p. 3. . Le Père Quévillon veut aussi mettre sur pied une maison d’enseignement à Mont- Carmel. En 1868, il aide les paroissiens de l’endroit à construire un édifice destiné à loger un collège pour garçons. Mais pour diverses raisons, en partie économiques, il ne réussit pas à mener son projet à terme. (Voir Macmillan, The Catholic Church in Prince Edward Island from 1835 to 1891, op. cit., p. 293 ; The Summerside Progress, 12 octobre 1868, p. 2.) Le Père Azade Trudel, curé de Baie-Egmont, veut lui aussi établir dans sa paroisse un couvent où les garçons puissent faire leurs études secondaires. Une salle est construite à cette intention vers 1868, mais le couvent ne voit jamais le jour. (The Examiner, 28 septembre 1868 ; Le Moniteur Acadien, 30 octobre 1868, p. 2.) Selon la tradition orale, l’évêque du diocèse, qui n’avait pas été consulté, refusa d’accorder son autorisation au projet. . Assembly Journal, P. E. I., 1886, Appendix À, p. 57. . Assembly Journal, P. E. I., 1883, Appendix B, p. X. . Reports of the Visitors of Schools … for 1875, Charlottetowm, 1876, p. 55. . Assembly Journal, P. E. I. 1887, Appendix À, p. 41. Traduction de l’auteur. . Report of The Visitor of Schools for Prince County, 1873, p. 60. . Le Moniteur Acadien, 20 novembre 1884, p. 2. . Reports of the Visitors of Schools … for 1875, Charlottetown, 1876, p. 56. . Ibid. et Assembly Journal, P. E. I., 1864, Appendix X. . Assembly Journal, P. E. I., 1861, Appendix W. . The Examiner, 22 mai 1876, p. 1, «The Education Law. Report of Investigation Committee.» . Le 19 janvier 1882, le Bureau d’Éducation autorise l’usage d’une «Graduated Series of French Readers» dans les écoles publiques. (P. A. P. E. I. R. G. 10, Minutes of Meetings of the Board of Education for P. E. Island, vol. 5, 1877-1892.) D’après plusieurs sources, il s’agit de la série Montpetit. Gilbert Buote écrit à ce sujet qu’il fut «le premier qui soumit la série Montpetit à la considération du Bureau d’Éducation de la province, en 1879, et réussit, par l’intermédiaire de M. Donald Montgomery, alors surintendant des écoles, à faire adopter ces livres dans nos écoles françaises». (L'Impartial Illustré, 1899, p. 60.) André Doiron, ancien instituteur des écoles acadiennes de l’île, écrit dans L’Impartial en 1902 : «Plus tard, vers 1884, quand la fièvre des révolutions, j’ose dire, fut passée, des hommes pleins de dévouement, dont vous êtes peut-être le seul survivant, M. le Rédacteur, se présentèrent au bureau d’éducation pour réclamer l’adoption des livres de la série de Montpetit. Et c'était pour suppléer au manque de quatrième et cinquième livres français, ou «moitié fran- çais» je devrais dire, de la série de la Nouvelle- Écosse. [...] Les démarches de ces hommes ne fut pas infructueuse. Le Surintendant se prêta à leur requête et une fois adoptée la série de Montpetit devint après un certain laps de temps d’un usage universel dans nos écoles. Il n’y a que l’abécédaire de la Nouvelle-Écosse dans nos écoles et cela est dû à l’opinion des instituteurs qui le trouvent plus propre à initier le jeune élève à l’étude de l’anglais.» (L’Impartial, 27 février 1902, p. 2.) On a aussi donné crédit à Joseph-Octave Arsenault pour l’obtention de la série. (Le Moniteur Acadien, 6 août 1886, p. 2.) J.-Henri Blanchard fait donc erreur lorsqu'il écrit que cette série est introduite dans les écoles en 1891. (Blanchard, Histoire des Acadiens de l’ Île du Prince-Édouard, op. cit., p. 63.) . Assembly Journal, P. E. Li 1886, Appendix A, p. 57. . Le Moniteur Acadien, 20 décembre 1884, p. 2. . Robidoux, Conventions Nationales des Acadiens, op. cit., p. 155. . Le Moniteur Acadien, 19 novembre 1874, p. 2. 265